Une rencontre inattendu. [PV:Kamira d'Esparow]

Entourée d'une forêt abondante, il y avait une grande maison ou plutôt un manoir. Il ne s'agissait pas d'un quelque conque manoir, mais d'une demeure qui avait connu de puissant magiciens, sorciers, elfes et toujours des âmes qui se dirigeaient vers le bien. Elle paraissait comme perdu dans ses bois. Néanmoins elle ne l'était guerre car située à quelques kilomètres d'un village d'Esparow. Le manoir comportait deux étages, et une écurie. Un grand champ de blé entouré le domaine. Il prenait fin à quelques mètres du manoir, pour laisser place à un joli jardin. Ce dernier se situait au centre du champ qui était abondant, et promettait une bonne saison pour son ou sa propriétaire. Revenons en à la demeure, qui était rayonnante, éclairée et accueillante. Faite totalement en bois, comme la plupart des maisons de l'époque, elle avait été peinte en un blanc brumeux, et ses larges fenêtres permettaient à ses habitants de jouir d'une lumière douce et agréable. Son toit était d'un marron qui viré au chocolat, au dessus de celui-ci se trouvait une cheminée qui fumée. L'entrée de ce manoir était composée d'une petite terrasse, et d'une habituelle porte d'entrée qui était en bois et en acier. Cette porte était assez dure, et imposante. L'acier qui la maintenait représenté diverse dessin. Qui à première vue ressemblait à des fleurs. A droite de celle-ci, il y avait un simple banc entouré de deux petits arbustes totalement identiques, et qui étaient disposés à chaque extrémité de ce banc. Cette entrée était ancrée à la gauche de la demeure. Le premier étage était simple, en rectangle il portait sur ses larges fondations le second étage qui ne contenait que les chambres et une salle de bain. Il était en carré et la chambre à couchée la plus grande avait une partie ronde, qui se voyait de l'extérieur et qui donnait un certain charme. On peut dire que ce manoir était mystérieux tout en gardant un côté conviviale. Le champ qui entourait la demeure comportait une écurie une réserve pour la culture. Tous deux étaient à une dizaine de mètres de la maison. L'écurie comportait cinq box, qui hébergés deux étalons et deux juments, dont une était en gestation. Dans cette écurie un box était vide. Il s'agissait de celui de la jument de la maitresse de maison. Pearl une magnifique jument blanche comme neige. Soudain sortant du manoir un homme en costume qui devait être âgé d'une cinquantaine d'années, se tenait droit devant l'escalier en pierre qui menait à l'entrée. A présent on percevait un bruit sourd qui provenait des bois. Puis de la forêt arriva une jeune femme qui galopait à vive allure sur une jument blanche. La jeune femme était très belle. Sa longue chevelure brune volait dans le vent. Celle-ci était vêtue d'un pantalon de chasse beige et d'une longue chemise blanche à volant. Elle portait aussi des bottes de chasse en cuir clair, et des gants qui prenait fin à ses poignées. Les yeux de cette femme étaient perçant de leur couleur noisette. Sa jument était magnifique, sa robe blanche était divine, sa tête était fine et son corps bien musclé. La selle sur laquelle était assise la femme était en cuir foncé. Cette femme n'était autre que Lyradore Malkera, la propriétaire depuis un an du manoir familial. Et l'homme était son majeur d'homme, Edwild, qui l'attendait comme à son habitude devant l'entrée pour l'informé des quelque conque nouvelle. Lyradore descendit de sa monture, lui caressa l'encolure, et alla à la rencontre de Edwild. Sa marche était élégante et souple.

_Mademoiselle, quelqu'un vous attends dans le salon.
_Et de qui il s'agit Edwild.
_La princesse Kamira vous attend.
_Oh très bien.

La princesse que faisait elle ici elle ne descendait que rarement et cela faisait bien des années que les eux amies d'enfance en sentaient pas revues. Elle tendit ses rênes à Edwild et alla d'un pas déterminé jusqu'à l'entrée. Elle ouvra délicatement la porte, et elle vit la princesse assise sur l'un des fauteuils du salon. A sa droite se trouvait le piano à queue de Lyradore. Elle se leva et alla saluer son amie. L'entrée qui donnait directement au salon, où étaient les eux jeunes femmes, était décoré à la mode bourgeois. Lyradore contemplait Kamira, qui était face à elle présent. Mais que souhaité elle.

Que cela était difficile de grandir. On devait prendre de plus en plus de responsabilités, proportionnelles aux statuts qu'on arborait. Ainsi dix-huit ans chez un paysan c'était un age comme les autres, d'autre responsabilité, mais dix-huit ans chez la princesse Kamira c'était quelque chose. C'était un age qui la rapporté fatidiquement à son règne, l'en rapprochait, c'était l'âge où elle devait faire le plus de choix. Notamment celui des personnes qui l'entourait. Un ménage devait être fait. IL fallait garder les bons et remplacer les mauvais éléments. Et même les dames de compagnies y passaient, surtout les dame de compagnie à vrai dire.
C'est cela qui avait porter la jeune fille dans les compagnes. Ce jour là ses cheveux bouclé descendaient comme à leur habitude sur les cheville de la ^princesse, glissant le long de la robe bleu pale qu'elle arborait, qui dévoilait ses épaules et couvrait ses bras, jusqu'aux bout de ses main, les manches étant dans un tissus opaque bleu, laissant voir les bras de la princesse. La robe trainait au sol, balayant la terre.
Elle était partit tôt le matin, à peine l'aube levé. Excitée de sortir elle était monté à cheval. Puis s'en était suivit un galop de plusieurs heures. Kamira avait était suivit de prêt par des gardes. Aucun n'avez parlez pendant tout le voyage, et cela n'avait point gênée la demoiselle. Elle avait prit l'habitude à leur froide présence. Alors elle c'était contenter de galoper à travers villages, champs et compagne, jusqu'à arriver.
Une jolie compagne au paysage accueillant se présenta à Kamira. Elle n'y fit pas attention, pressée et excité. Elle somma qu'on appelle pour elle Lyradore Malkera, et en attendant s'installa dans le salon. Petit mais accueillant se salon. Néanmoins Kamira ne fit attention à la décoration et s'installa dans un fauteuil, se reposant un peu du voyage le temps que l'interréssée arrive. Intérieurement elle préparer ses paroles. Le regard doré de la princesse se balada au dehors, se perdant parmi les arbres. Elle fut néanmoins tiré de sa rêverie lorsqu'elle vit sortir des arbre la femme à qui elle venait parler.
Avant même qu'elle n'eut eu le temps de savoir si elle se levait ou non, Lyradore entra. A cette instant Kamira se leva, rejetant sa longue chevelure sur son dos. Son œil droit, caché sous sa frange, était fixé tout comme son œil gauche sur Lyradore. D'un pas léger, presque dansant, souple , Kamira s'approcha de Lyradore et fit une légère révérence, ployant les jambes. Après quoi elle se redressa et dit d'une voix douce et sereine.

-Lyradore Malkera. J'ai hautement besoin de vous. Seriez vous disposez à m'écouter?

La princesse Kamira d'Esparow, n'avait pas perdu sa beauté depuis tant d'années. Elle avait toujours ce joli sourire, cette extravagante chevelure qui lui allait à ravir. Elle était devenu tout comme notre belle Lyradore une jeune femme sûre d'elle. Néanmoins leurs chemins s'étaient séparés quand elle avaient à peu près dix ans. Lyradore se rapprocha du domaine familial afin d'y apprendre les ficelles de la magie et le contrôle de son élément: la Terre. En ce jour si radieux Kamira était très élégante elle avait laissé voleté ses boules brunes dans les airs. Elle demanda l'attention de Lyradore. Alors elle hotta ses gants et les disposa de manière consciencieuse sur une table en bois qui était près de l'entrée. Elle alla par la suite saluer son invitée de geste noble, et lui proposa de ce même geste simple de la main de s'assoir. Elle appela alors Edwild.

_Avez vous manquez à votre devoir, vous n'avez point servi un rafraichissement à notre princesse. Mais enfin voyons!
_Je suis confus majesté. Que désirez vous?

Le major d'homme attendait la réponse de la princesse, et revint avec un verre d'eau.

_Laissez nous à présent, je crois que notre majesté a besoin de s'entretenir en privé avec ma personne.

Lyradore ne faisait pas de semblant elle avait appris et grandis dans la noblesse, ses parents avaient l'habitude de côtoyer et ce régulièrement les parents de Kamira. Lyradore marchait gracieusement telle une reine. Malgré son jeune âge, elle avait beaucoup de responsabilité, envers la nature, envers sa famille et ses traditions. En effet l'élémentaliste, était très puissante sa force était redoutable. Assise sur son fauteuil, elle contemplait son amie. A côté de son fauteuil se trouvait, une table basse, où était disposée une plante verte qui appelait Lyra à l'aide. Elle pouvait entendre et parler avec la nature, il s'agissait d'une langue méconnu et incompréhensible pour quiconque l'entendait. Elle mit sa main légère au dessus de celle-ci et lui redonna vie simplement, ce qui provoqua une légère lumière semblable à celle du soleil, mais point aussi puissante. Elle manquait d'eau ces temps-ci sa propriétaire était souvent absente, et n'avait pas beaucoup de temps à lui consacrée. Elle croisa ses jambes, reposa sa main sur l'accoudoir du meuble, et fixa la princesse de son regard dévastateur. La salle se vidait peu à peu des soldats de Kamira et des domestiques de Lyradore, les deux jeunes femmes étaient à présent seules. Edwild ferma la porte derrière lui, il était un serviteur fidèle de Lyradore, elle avait connu depuis sa plus tendre enfance. Elle se retourna vers la princesse, et dit de sa douce et fine voix.

_Je vous suis toute ouïe mademoiselle Kamira.

Il y avait bien longtemps que la princesse n'avait vue Lyradore. Elle n'avait pas changer, si ce n'est qu'elle avait juste grandit et que, comme Kamira, elle arborait cet air doux et hautain commun à beaucoup de noble. Qu'il était bon de se trouvait en si bonne compagnie. Allait-ce durer ou prendre fin. Espérons le meilleur, si gracieuse compagnie était rare, tout comme les conseils qu'elle pouvait apporter avec elle. Kamira rejeta sur son épaule droite son abondante et fluide chevelure, se rasseyant dans le fauteuil où elle avait déjà pris place. Elle attendit que le major d'homme eu demandait se qu'elle désirait afin de se désaltéra, répondit qu'un verre d'eau suffirait, puis d'un geste de la main donna l'ordre au garde de déserter la pièce.

Son regard ne se détacha de Lyradore, ou alors juste pendant d court moment. Lorsque les verres arrivèrent et qu'Edwild disposa, Kamira se leva et se présenta au piano. Elle en releva le couvercle de bois, s'asseya au tabouret devant puis fit virevolter ses doigts, de touches en touches. Une douce musique ampli alors la salle, une musique à apaiser les mɶurs. Ses yeux semblaient clos, et leur dorures n'étaient point perceptibles. Quand à ses gracieux doigts fins, ils allaient de touches en touches avec légèreté, tous comme les pas de la jeune fille.

Alors la musique prit fin. Kamira resta un instant devant le piano, ses doigts glissants lentement sur les touches avant de se retirer, pour s'enlacer. Elle joignit ses mains, les posa sur sa robe puis se retourna vers Lyradore.

Alors elle prit la parole, d'une voix douce et calme.

-Lyradore, cela doit faire bien longtemps que je ne vous ai point vue. Je pensait vous compter parmi les invité au bal. Je ne vous y ai point vus néanmoins je ne m'inquiète pas. Surement aviez vous d'autre choses plus importante à faire.

Elle se tut un court instant, faisant une pause. Elle prit place sur le fauteuil qu'elle avait auparavant quitté puis reprit.

-J'ai atteint mes dix-huit ans. Un grand âge. Un âge qui me force à prendre des décision tel, qui sera mon maris et votre roi? Qui est digne de confiance ou pas? Et c'est pour cela que je suis ici. Je doit faire le... ménage, elle hésita sur le mot, parmi mes dames de compagnies. Se sont surement les personne les plus proches de moi donc celle dont je dois le plus me méfier. Hors une place ce libère et je vous l'offre. Depuis le temps que nous nous connaissons je pense que vous êtes digne de confiance. Aussi je vous pris de bien vouloir accepter d'avoir des appartements au château et d'être ma dame de compagnie. Bien évidement vous garderait vos terres et pourrez les rejoindre lorsque le besoin vous en est.

Elle se tut à nouveau, mais cela n'était point une pause, juste une autorisation à parler. Son regard doré et tout aussi bienveillant que celui de son père sondait Lyradore. Un doux sourire c'était affiché sur le fin visage de la princesse alors que ses mains n'avaient toujours pas bougées de sa robe.

A présent elle était seule face à la princesse, attendant patiemment qu'elle prenne la parole. Elle alla alors au piano de sa mère et commença à jouer une douce mélodie. Personne à par elle n'avait le droit de toucher. Il s'agissait de la princesse mais tout de même. Elle cacha sa colère. Elle devait savoir qu'elle était la raison de la venue de Kamira au manoir. Celle-ci s'installa sur son fauteuil, et commença à expliquer sa venue. Elle commença d'abord à lui demandait de ses nouvelles. A lui poser quelques questions, néanmoins elle n'y répondit pas car elle était encore très énervée. Elle se calma en buvant une gorgée d'eau. Puis elle commença à lui expliquer pourquoi elle était venue au domaine.

-J'ai atteint mes dix-huit ans. Un grand âge. Un âge qui me force à prendre des décision tel, qui sera mon maris et votre roi? Qui est digne de confiance ou pas? Et c'est pour cela que je suis ici. Je doit faire le... ménage, elle hésita sur le mot, parmi mes dames de compagnies. Se sont surement les personne les plus proches de moi donc celle dont je dois le plus me méfier. Hors une place ce libère et je vous l'offre. Depuis le temps que nous nous connaissons je pense que vous êtes digne de confiance. Aussi je vous pris de bien vouloir accepter d'avoir des appartements au château et d'être ma dame de compagnie. Bien évidement vous garderait vos terres et pourrez les rejoindre lorsque le besoin vous en est.

Elle tenait ainsi à ce que Lyradore devienne sa Dame de compagnie. Lylie se leva et alla au piano pour refermait son couvercle. Ses mains posées sur le piano, elle réfléchissait à tout cela, devenir une dame de compagnie offrait beaucoup de privilèges, néanmoins elle avait beaucoup de responsabilité ici. Les terres, le domaine, les écuries, tout abandonner pour devenir la dame de compagnie de Mademoiselle Kamira d'Esparow. Elle étaient amies de longues dates, mais à présent elle avaient toutes deux de lourdes responsabilités envers son élément. Mais n'empêche elle savait que Edwild allait l'aider à sa tache et elle ne serait pas absente indéfiniment. Elle allait accepter, essayer et si cela ne lui convenait pas elle retournerait au domaine. Elle alla vers la princesse, dégagea de son visage, les quelques mèches rebelles, qui perturbaient sa vue. Et dit d'une voix calme et douce.

_J'accepte votre offre princesse, mais laissez moi le temps de prévenir mes domestiques.

Elle tendit une main à Kamira comme pour conclure leur pacte.

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