Une visite inattendu.

Invité

La salle du trône, une immense salle avec un seul trône au fond de la pièce. Avant il y en avait trois, un réservé au roi, une autre pour la reine et la dernière pour l’enfant des deux derniers. Mais là il y en avait qu’un seul. A qui était réservée cette place ? Au dernier survivant de la famille royale de Kralon. En une nuit, la famille royale avait perdu tous ses membres, tous ? Pas tout à fait, il y avait un survivant de ce meurtre. Un jeune homme, le fils unique de cette famille qui se nomma Her Feers qui a était mit au trône ce jour même, le jour de l’enterrement de ses parents.

La peine, la douleur de ce crime, le sentiment d’avoir perdu des être chère étaient encore présent dans l’esprit de Feers. Il était là, assit sur une chaine, au bout d’une table monastère avec le symbole de Kralon taillé au milieu de la table et sur les dossiers des chaises. Il était seul dans cette immense salle qui avait quelque tableau de grande bataille, de statut de héros tombé sur le champ de bataille tout ça orné d’or et de pierre précieuse. Ce décor reflété bien l’esprit Kralien, un peuple guerrier, militarisé, regardé juste le nouveau roi, aucun habit reflétant le partit royale, il portait une tenu d’un militaire, en même temps que faut il attendre d’une personne qui a été élevé et formé pour contrôler l’armée de Kralon, mais il était encore jeune, sa prise de pouvoir était peut être arrivé trop vite.

Plongé dans ses pensés sur d’ancien souvenir et bien sur son rôle de roi de Kralon, un garde vint perturber tout cela en disant :

-Votre majesté, désoler de vous déranger mais une personne désirerai vous voir.

Feers qui avait coude sur la table et tête appuyé sur la main. Il leva les yeux vers le garde et le rassura :

-Vous ne m’embêté pas mon chère.

Il réfléchit quelque seconde, se leva de table et tout en restant a sa place, debout il dit :

-J’accepte de voir cette personne, veuillez la faire rentrer, je vous pris.

-Bien votre majesté.

Alors que le garde aller faire rentré la personne, Feers interpela le garde et lui dit :

- Vous savez, vous pouvez m’appeler Feers ou commandant, cette marque de noblesse me met mal à l’aise.

-Bien Sir.

Le garde parti pour prévenir qu’elle pouvait rentrée, Feers se demanda un peu désespéré:

- Sir, seigneur, majesté ce n’est pas la même chose par hasard ?

Il entendit le grincement de la porte et regarda dans cette direction et il vit … .

Il entendit le grincement de la porte et regarda dans sa direction et vie une jeune fille à la peau brune, vétut d'une robe blanche et aux dentelles rouge bordeau, balayant le sol. Les longues manche rouges de la robe étaient amples, cachant les mains de la jeune fille qui étaient jointe sur la robe,devant elle. Ses épaules, quelque peu dévoilée, étaient couverte par son abondante chevelure bouclée et noir, plus noir que le plus sombre noir, qui se perdait sur son dos, et s'arrêtait dans les pans trainant de sa robe. Au sommet de sa tête était posé un diadem en argent, incrusté de diamant. C'était un cadeau que les parent de l'actuel roi Kralien avait fait à la princesse à sa naissance, au même titre que ses parent à elle avait offert à la naissance de Her Feers une chaine en or avec un rubis en pendentif. C'était assez symbolique, c'était des rare cadeau paisible en se temp de guerre éternelle entre les deux royaumes,

Avançant d'un pas léger, sa cheveulure dansant derrière elle, Kamira regardait l'homme qu'elle n'avait, jusque là, vue qu'en tableau, de ses yeux doré. Ses pas ne faisaient pratiquement aucun bruit sur le sol dallé de la salle, aussi léger furent-ils. Une fois face à lui, elle ploya ses jame, baissa la tête et fit une révérence. Ce n'était pas là un signe de soumission mais un signe de politesse et de paix. Après quoi elle se redressa, lui faisant face, Elle était légèrement plus petite que lui. Alors elle dit, d'une voix calme, sereine et douce,

-Messir Her Feers, roi de Kralon, je suis Kamira d'Esparow, princesse hértière d'une royaume d'Esparow. Je viens ici présentait, en mon nom, celui du peuple, celui emon père et de sa cour, nos plus sincère condoléhences, Mon père est en ambassade à Milenya et ne peux se joindre à moi. Je suis venue de ma propre initiative.

Elle se tut, laissant le silence reprendre son reigne entre eux. Ses yeux doré ne qitèrent pas le regard de l'homme, le soutenant. L'endroit l'éxitait un peu. Elle était hors de son château, hors de son royaume qui plus est. Elle était dans le royaume ennemie, bien qu'elle trouvâ les cause de leur éternelle guerre stupide, et face au roi de se royaume. Néanmois rien de cette exitation ne paraissait, ni dans ses mouvement, ni dans son regard. Car elle était aussi peiné de la mort des souverains. Et c'est cette sincère peine qui était visible, tant dans son regard et ses gestes, que sur son visage fin et quelque peu blême en cette atmosphère triste.

Invité

Feers vit la personne qui avait voulu le voir, cette personne était une dame vu l’habille qu’elle portait. Le raffinement, la splendeur des habits que cette personne portait montré qu’elle était dans la classe des nobles. Feers fut surpris de voir une telle personne de cette classe venir ici, il faut dire que Kralon avait plus d’ennemi que d’allier dans ce monde et surtout sur ce continent. Mais la surprise fut encore plus grande lorsque la personne se présenta. Kamira d'Esparow, princesse héritière d’un royaume d'Esparow, ce qui voulait dire, une haute noblesse du royaume avec qui le siens est en conflit depuis bien longtemps, bien avant sa naissance.

Mais ce jour n’était pas dirigeait vers leur conflit mais vers la mort prématuré, aidé si on peut dire des parents de Feers. La famille royale de Kralon a était lourdement affaiblit. La princesse Kamira portait un objet qui attira l’attention de Feers, le diadème en argent incrusté d’or. Pourquoi cette atention, C’était un cadeau que ses parents avaient offert lors de la naissance de Kamira, il remarqua l’objet en question lorsqu’elle fit la révérence et qu’elle expliqua le pourquoi de son venu ici. Pour revenir au diadème que Kamira avait reçut a sa naissance, Feers reçut lui aussi quelque chose a sa naissance mais des parents de cette personnes, une chaine en or avec un rubis en pendentif.

Feers portait lui aussi ce cadeau de sa naissance, il le porta sur son uniforme, au près de ses médaille, mais a part pour le distingué parmi les quelques médailles qu’il avait. Etonné, surprit, voila comment était Feers en voyant Kamira lorsqu’elle présenta ses condoléances plus des explications qu’elle donna. Feers s’inclina comme marque de salut, s’enleva de devant la table où il se trouvait pour bien être face à la princesse et dit d’un ton neutre de façon qu’on ne puisse pas savoir si il était oui ou non encore sous l’effet de la peine :

-Merci. Je dois dire que je suis surpris de voir une telle personne de votre classe ici même. Je vous suis reconnaissant d’avoir fait un si long voyage pour la mort de mes parents.

Feers avait gardé une certaine distance entre lui et elle, il se retourna et alla a
nouveau a sa place, il s’assit et il invita Kamira de se mettre à l’aise et il continua :

-Ne vous inquiétez pas, je comprends bien que votre père ne pu venir. Mais je suis étonné que vous soyez venu de votre propre initiative. Mais cela est admirable venant de vous.

Feers était « perturbé » si on peut dire de cette visite inattendu.

Pour des gents normaux, il aurait était pesant d'être dans une tel situation. Mais voila, Her et Kamira étaient tout deux issus de sang royal et exelaint dans l'art de paraitre neutre. Sur aucun des deux visages on ne pouvait voir les expressions qui les animaient réelement. Aussi alors que Her était plutôt surpris, Kamira, elle, intrépide et avide d'expérience, était quelque peu exitée de se trouver hors de son chateau et de son royaume. Mais rien, ni même leurs yeux, leurs regards, ne démasquaient leur sentiments.

Leurs voix raisonnaient silencieusement dans la salle, tel des bourdonnements gracieux, tant leur langue furent-elles habituées à tant de gracieuses cérémonie. Le jeune roi prit place, invitant la princesse à en fair autant. Elle se dirigea vers une chaise, restant à une distance convenable de lui, et prit place sur un des siege autour de la table où il avait déja prit place. Il était surprit de la voir, elle, n'était pas surprit de cet étonnement. Mieu valait-il s'expliquer alors.

-J'aimerait monter sur mon trône en ayant prouvé à ma cours que je sais fair autre chose que gambader les foret ou me tenir prête à porter un enfant. Aussi, tant par respect envers vous que par devoir envers mon payx, je tient à innocenté Esparow de l'abomination qui a était faite à vos parents. Cela est arrivé sous ma régence et je tiens sincèremnt à nous innocenter.

Elle se tut. Son visage était toujours aussi serein et bienveillant. Une franchise quand à ses mots c'était glissé sur l'expression de la jeune femme qui reprit, toujours de sa voix calme et fluide.

-Néanmois, s'il s'avère que le meutrier soit d'Esparow nous demanderons, moi et mon père, car je parle aussi en son nom étant donné qu'il est toujours roi, nous demanderons donc que le meutrier sois jugé ici mais que sa santence soit éxécuter en Esparow. Si cela ne vous convient pas nous demandons alors qu'il soit jugé ici par nos deux patrie et punie à Kralon, vous laissant l'intégralité des choix quand à la sentence.

Elle avait parlait doucement et le dernier mot c'était perdut dans un souffle. Elle espérait intérieurement que le meutrier ne vienne de la court Esparienne, elle aurait trop honte. Une foix de plus son regard se posa sur l'homme. Alors elle dit encore plus bas.

-Je vous avez déja vue, sur des tableaux. J'ai pourtant, je doit l'avouer, était surprise. Vous êtes différent lorsque la peinture n'est présente.

Cela n'était ni une reproche, ni un compliment, juste un commentaire sans avant gout ni intentions. Kamira avait des foix la facheuse habitude d'exprimer à haute voix ses pensés. Elle ne se montra pas géné pour autat et resta assise sur la chaise, ses mains cachées par ses manches sur la table tandis que ses cheveux s'enroulaient sur ses jambes, couvrant toujours ses épaules.

-Kralon est semblable par bien des endroits à Esparow.

Ajouta t'elle sur un ton réveur en regardant la salle du trône qui devait être aussi grande que la sienne, bien que plus sombre.

Invité

Inari avait décidé de rester avec les chevaux et laisser sa princesse faire. Elle était toujours peinée par la perte de personnes, même si elle ne connaissait pas le roi actuel personnellement.

Il faisait mauvais. Ou plutôt l'air était mauvais. C'était toujours comme ça en ce moment avec les guerres à profusion mais en ce jour de deuil, l'air était maussade, comme s'il présentait lui-même ses condoléances.

Les chevaux non plus n'étaient pas en forme, ce qui explique leur petit retard par rapport aux pronostiques mais bon, les vivres de voyages ont suivis et c'est ce qui lui importait.

Elle adressa une dernière caresse aux chevaux pour aller aussi présenter ses condoléances.

Autant l'avouer et même en chemin, aucune honte ne pouvait se mériter de la sorte : c'était plus facile à dire qu'à faire.

Elle avait à peine franchit un palier d'escaliers qu'elle se décida de tourner les talons pour s'enfuir. Non seulement elle n'avait pas encore le gout luxueux des châteaux mais elle détestait sentir la mort chagrine de près comme de loin.

Elle était désemparée, ce qu'elle n'aurait pas fait pour honorer sa princesse ?

Le courage à deux mains, elle ouvrit doucement la porte de la salle du trône, fit quelques pas en s'inclinant bien bas face à sa maîtresse et mit un genoux à terre, plein d'humilité.

- Majesté... Je vous prie d'accepter mes humbles condoléances...

Elle avait senti que sa voix allait se briser, elle sentait la tristesse du jeune monarque mais ce qui la tiraillait le plus était de ne pas pouvoir la comprendre : comment une fille sans passé comme elle pouvait comprendre les sentiments de vide du jeune Roi ?

Ehontée, elle ne le regarda pas directement. Elle laissa son regard blanc se promener sur le tapis de la salle du trône.

Invité

Feers écouta attentivement son invité. Assit ou bout de table, droit sur sa chaise, sa main gauche et son coude droit posés sur la table en se frottant le menton avec sa main droite. Le princesse Kamira n’était pas venu que pour souhaiter ses condoléances mais elle était venue aussi pour défendre son royaume des soupçons que porte le royaume de Kralon sur Esparow. Il faut dire que les deux royaumes étaient en conflit constante donc les regards s’était presque immédiatement. Mais une enquête est en cour, mais l’importance, l’immobilisation de cette enquête était tenu secrète, les moyens pour retrouver la ravisseur était assez important.

La princesse argumenta pour innocenter son royaume sur le crime des parents de Feers. Bien que l’assassin cour toujours et que les enquêtes ne même a rien pour le moment. Personne ne peut être excusé. Feers la regarda dans les yeux, un regard vif et dit d’un ton aussi neutre :

-Certes, je comprends vos inquiétudes. Nos relations politiques entre nos deux royaume est sous tension et très instable. Nous pouvons même dire que le moindre choc pourrait tout faire exploser et que cette guerre froide se transforme bel et bien en une véritable guerre. Nous sommes tous deux conscients de cette situation. Mais sachez que je m’efforcerai, de faire en sorte que cette guerre actuelle ne s’empire, pour le bien de nos deux royaumes.

La princesse s’était tue, elle gardait toujours son visage serein et bien veillant. Elle reprit la parole en expliquant que si l’assassin venait d’Esparow, le roi et elle-même, demanderont que le meurtrier sois jugé à Kralon mais que la sentence soit exécuter à Esparow ou que le meurtrier soit jugé à Kralon par les deux parti concerné et que la sentence soit exécuté aussi à Kralon en laissant l’intégralité des choix quand à la sentence. Feers remarqua que le dernier mot s’était perdu dans un souffle. >Il réfléchit quelque seconde, se frottant le menton avec un regard pensif, il dit alors de façon calme, naturel et bien sur neutre :

-Si par hasard, le meurtrier venait de votre royaume. Le criminel serait jugé ici même et il sera envoyé dans son royaume d’origine pour que la sentence soit exécutée. Je choisi donc votre première proposition, afin de montré que Kralien et Esparien peuvent « coopérer » entre eux dans certain cas.

La princesse Kamira parla un peu plus bas que d’habitude, Feers se pencha légèrement en avant pour bien entendre se qu’elle avait à dire, surement pour éviter que cela ne résonne pas trop dans la salle du trône. Elle lui dit qu’elle l’avait déjà vu sur des tableaux et qu’elle était surprise, qu’il y avait une différence entre lui et la peinture. Feers fit un petit sourire et répondit d’un ton plutôt amical :

-Ah ! Vous trouvez aussi ma chère. Vous n’êtes pas la seul personne à me le dire, même moi j’ai remarqué ceci. Mon père a toujours voulut m’imprégner le symbole de la puissance royale, surtout dans la tenue que je n’ai jamais su l’apprécier. J’étais plutôt tourner vers l’uniforme de nos armées, l’uniforme militaire. On n’était pas toujours d’accord sur pas mal de chose.

Il y avait une peinture de lui très récent, on voyait que la peinture était limite fraiche. Il ne portait pas de tenu royale, mais un uniforme, son uniforme, avec le drapeau du royaume derrière le dos et les symboles montrant son titre de roi sur un coussin rouge. C’était plus le portrait d’un des officiers de l’armée Kralienne qu’un roi, juste dans sa tenue, sa façon de tenir et son regard. Elle fit un petit commentaire, elle dit que Kralon était semblable par bien des endroits à Esparow. Feers se remit droit sur sa chaise, mais cette fois ci, il était adossé, les deux mains posées sur la table et regarda le plafond :

-Si vous le dites, bien que notre culture, nos croyance, notre façon de voir les choses soient différent dans chaque royaume, nous restons tous des humains donc il y a de grande chance de trouver quelque similitude entre les différents royaumes.

Alors que le silence prenait petit à petit contrôle de la salle, quelque chose attira l’attention de Feers, le grincement de la porte. La porte s’ouvrit l’entement et il vit une personne rentrer. C’était une jeune demoiselle, elle fit quelque pas en avant et mit un genou à terre et lui souhaita ses humbles condoléance. Feers regarda la jeune personne, il était surprit que l’un de ses gardes n’avait pas prévenu la venu de cette personne. Mais quelque chose d’autre l’avait plus frappé, c’était cette marque de noblesse qu’il le mettait mal à l’aise, mais bon, c’était le protocole qui le voulait ainsi. Feers se leva de la table, marcha vers cette demoiselle et lui tendit la main pour l’aider à se relever et lui dit d’un ton naturel :

-Je vous remercie ma chère. Vous savez, vous pouvez m’appeler Feers, les marques de noblesses ont tendances à me mettre mal à l’aise.

Il remarqua qu’elle ne le regardait pas directement. Il fit un petit sourire et l’aida à se relever, on va dire qu’il avait un peu forcé qu’elle accepte son aide en tendant sa main. La jeune fille se trouvait debout devant lui, il la regarda dans les yeux et lui demanda d’un ton plutôt amical :

-Pourrais-je savoir qui vous êtes ma chère ? Je veux dire que vous vous n’êtes même pas pris le temps de vous présenter. Je désirerai connaitre la personne qui m’a présentait ses condoléances afin de la remercier avec son nom.

Feers se tenait droit devant elle, les bras le long du corps et attendit avec un petit sourire sur le visage, la réponde de la demoiselle. L'ambiance était déjà assez froid et lugubre, il décida de détendre l'atmosphère.

Invité

Inari fut véritablement pris au dépourvu. Elle vit mentalement la main s'approcher vers elle, tendue comme un remerciement. Elle n'avait pas imaginé cela : l'héritier de Kralon être aussi galant et poli...

Elle trouvait cela d'une grandeur absolue mais cela l'embarrassait, surtout devant sa princesse.

Comme si cela n'était pas suffisant, il l'aida à se relever. Elle regarda machinalement Kamira et se concentra après sur le regard bienveillant du nouveau roi. Tout à coup, elle comprit que les voix qui l'assaillaient et le malaise s'étaient dissipés...pour laisser place à une coquine surprise faisant roser ses pales joues d'ordinaire. Elle voulait s'enfuir mais elle maintint fermement ses jambes clouées au sol, en combattant ses démons intérieurs courageusement...si ce n'était désespérément.

Son contact chaleureux allait la faire chavirer, elle qui n'en avait aucunement l'habitude sauf pour le cas de la princesse. Kamira n'était pas comme les autres, c'était certain, mais avec le temps et surtout pour la raison qu'elle n'était pas de sexe masculin (elle en était fort aise...) Inari savait apprécier ces moments de tendresse et de chaleur humaine.

A présent, il s'agissait d'un inconnu de sang royal.

A sa demande d'annulation de tout protocole de politesse d'un serf à un chaînon royal, elle abandonna tout.

Son sourire fit office de top départ dans sa tête.

Elle aurait aimé lui dire qu'elle n'était pas habituée à tant d'aisance avec la gent masculine mis à part dans un champ de bataille.

Sur ce, elle trembla à peine de façon perceptive et arriva enfin à articuler à la demande du prince son nom...

- Inari Sayonakidori... Garde personnelle de sa majesté ici présente...Seigneur...

C'est plus laxiste que Majesté ou mon Roi... pensa-t-elle pour son aise.

Elle sentit qu'elle commençait à craquer... Soutenir son regard de cette façon était perverse pour elle. Elle et ses yeux qu'elle détestait tant, si blancs, si dérangeants...

Elle baissa de nouveau les yeux et inclina la tête en signe de respect sans même attendre ses remerciements.

- Je vais prendre congé... Je vais vous laisser parler tranquillement...

Elle se tourna vers Kamira en tentant de ne pas démontrer sa gêne emprunte de timidité mais surtout de manque d'entraînement pour parler non seulement avec une autre figure royale qu'elle mais de plus, un homme plus que respectueux envers les humbles servantes comme elle.

Elle partit le pas pressé, ne prit même pas le temps de refermer la porte qu'elle courut dévaller les escaliers.

Elle courut si bien qu'elle se retrouva dans un bosquet où coulait une fontaine.

Elle reprit son souffle et pria les dieux pour que sa princesse ne crut aucunement à un manque d'irrespect envers le oi de Kralon.

- Je dois vraiment...sortir avec des hommes plus souvent...

Elle dit ça à contre-coeur mais s'il fallait cela pour ne plus avoir à faire avec ce genre de situations...

Elle était prête à y mettre le prix.

Invité

La personne s’identifia comme garde personnelle de Kamira, qu’elle se nomma Inari Sayonakidori. A près s’être identifier, elle baissa la tête en signe de respect et expliqua qu’elle allait se retirer pour laisser tranquille, alors que Feers n’eut même pas le temps de la remercier. Elle quitta la pièce le pas pressé et on pouvait entendre qu’elle dévalait les escaliers. Elle était partit si rapidement qu’elle avait oublié de fermer la porte derrière elle. Feers marcha d’un pas lent mais surement vers la porte pour la refermer et se tourna vers Kamira avec un petit sourire aux lèvres :

-Charmante votre garde du corps.

Il reprit sa marche lente vers sa place d’origine, au bout de la table monastère, le dos tourné vers le trône. Il était adossé, mais toujours en se tenant droit. Il tourna son regard vers celui de Kamira et demanda d’un ton amical, avec un soupçon d’ironie :

- je vous remercie encore de vous êtes déplacer pour la mort de mes parents et je comprends bien votre inquiétude par rapport aux soupçons posé sur votre royaume. Mais je pense que vous n’êtes pas venu que pour cela. Me trompais-je ?

Détendu, calme, en cachant sa peine fraiche de la disparition de ses parents qui sont morts de façon assez monstrueux. Bien que se soit un moment de deuil, Feers mit son devoir de nouveau Roi du Royaume de Kralon en avant. Mais quelque chose passa dans son esprit avant la reprise total de ses pensés, le visage d’Inari qui était si particulier. Mais tout cela s’effaça lorsque son « devoir » reprit le dessus. Bien que le moment n’était pas spécialement fait pour une discutions entre les deux représentant des royaumes, Feers décida d’aller de l’avant et ne pas laisser ses émotions dicter sa voie.

Oui c'était indéniable, on ne se resemblait pas sur les tableau peints, du moi pas aussi naturellement. On était plein d'objet "sacrés" et se devait de ressembler à des stéréotype de supériorité, plus ou moin humble. C'était surment un point en commun entre l'éducation de Feers et celle de Kamira. Surment y en avait il d'autre. Leurs pères à tous deux avaient fait d'eux, sur tableaux, des êtres assez artificiel où rien de naturel ne paraissait. C'était, certe, normal pour eux, mais sur tableau cela faisait très, voir trop, inhumain.
Oui il avait aussi raison, il existait des différences entre leur patrit, c'était indéniable. Ils pouvaient même faire équipe. La preuve. Kamira espérait qu'ils n'auraient pas à fair équipe pour ça en tout cas. Elle était persuader que le meutrier n'éatait pas Esparien.
La porte s'ouvrit et cette fois ci, ce fut aussi une esparienne qui entra. Kamira l'accueillit avec le sourire. C'était sa garde, Inari. Kamira ne comprit pas une chose, pourquoi était-elle génée? Ah moin que,,,oui effectivement. Kamira se leva mais Her Feers la devança. En même temp il ne portait pas cette affreuse robe lourde qui rendait lent les mouvement. A croire que c'était fait expret. Elle resta en retrait, n'osant pas regarder. Elle sentait encore se mal être lorsqu'elle était en présence de deux gents plus ou moin proches. Elle recula même. Ils parlèrent, brièvement pus Inari partit, génée. Kamira s'appretait à s'élancer vers elle mais cette robe, une fois de plus, l'an empécha. Damnée soit elle avec sa lourde dentelle stupide. Elle resta debout alors que Feers se rassit, et ne prit pas la peine de lui répondre à sa remarque.
Elle ne se rassit pas non plus.

-Oui vous avez raison. Je ne suis pas là que pour vos parents. Je suis aussi là pour vou prévenir.

Elle regardait la fenêtre avec un air perdut.

-Feers, si vous me permettez de vous appeler ainsi, je vous demande de vous tenir sur vos garde. Quelqu'un en veux à nous deux nation.

Son regard avait changer, il semblait plus sombre malgré ses yeux doré. Et elle le regardait dans les yeux.

Invité

Alors que Feers s’était rassit, Kamira resta debout. La raison ? Feers n’en savait rien, mais la réponse lui fut vite donné lorsqu’il vit le regard de Kamira changer, il semblait plus sombre malgré ses yeux doré. Elle répondit à la question de Feers sur son véritable venu ici. Cela était un trop grand voyage que pour la mort de ses parents, un message aurait suffit. Son véritable but de sa visite était de le prévenir de quelque chose, de le mettre sur ses gardes. Mais pourquoi donc ? Elle avança la théorie que quelque chose en voulait aux deux royaumes, celui d’Esparow et de Kralon.

À la dernière nouvelle c’était eux les menaces, Esparow pour Kralon et Kralon pour Esparow, étant dit qui sont en guerre depuis bien longtemps et qu’aucun des deux camps avait encore réussit à renverser l’autre. Mais une nouvelle menace avait, sois disant apparut. Cela n’effraya pas Feers en entendant ce message et malgré le regard que portait la princesse. Il se leva de sa table tranquillement, croisa ses mains derrière le dos, se dirigea d’un pas confiant mais lent vers la fenêtre et regarda a travers. Il prit une grande respiration et tout en regardant dehors par la fenêtre il dit d’un ton neutre :

-Qui ?... Qui pourrait menacer nos deux royaumes ?... Nous voilâmes en guerre depuis bien longtemps. Ce qui nous a poussés à nous armer, à faire grandir nos forces militaires. Cela nous que nous soyons une puissance militaire, et comme vous le savez, surtout Kralon.

Il fit un pose, laissa le silence reprendre le dessus dans la salle et reprit de plus belle :

-Avons-nous vraiment a craindre de cette menace ?

Il tourna son regard vers ce de Kamira, un regard banal mais montrant sa confiance envers son royaume et ses hommes.

Invité

Même en regardant longuement son reflet dans la fontaine, elle n'arrivait pas à se calmer.

Elle était gênée et même plus ; elle espérait de tout son coeur que le roi de Kralon enfin...Feers ne l'avait pas pris mal. Elle transpirait encore et son coeur avait du mal à reprendre un rythme normal.

Ses tempes pulsaient dangereusement, sa respiration était aussi haletante que celui d'un cheval après un bon galop ou une marche de plusieurs jours, sa peau perlait de gouttes de sueurs qui ne faisait que rendre sa peau plus irrésistible que jamais, à contre-coeur.

Et ces yeux...

- Je les hais !!! Pourquoi étais-je créée ainsi ! Aussi blafarde que la lune !!!

Elle se leva, devant la lune naissant dans le ciel encore empli de la lumière du jour, elle veillait sur elle mais son orgueil avait pris le dessus.

- On chante des louanges en ton nom, astre argenté !! On te chéris et même t'adressons des prières et nos voeux les plus chers ! Pourquoi suis-je ainsi, aussi différente !! On me voit comme un monstre de la nature !!!

Elle tomba sur les genoux. Elle se sentait mieux. Elle savait que c'était injuste de s'en prendee à la lune mais, comme une enfant qui devait trouver un coupable, elle s'en prenait à celle qui ressemblait le plus à sa mère en ce monde qui lui semblait étranger.

Ou c'était plus ce monde qui la voyait ainsi. Comme quelqu'un qui n'appartient pas à leur sphère. Seule Kamira l'avait accueillie sans arrière-pensées, au contraire ; avec le plus grand respect et la plus grande tendresse.

Elle se mit à chanter pour oublier ses craintes et comme pour se faire pardonner de cette injustice plus que puérile envers la lune.

Elle s'arrondit, clémente et écouta attentivement ses excuses en forme de complainte.

Elle fit apparaitre un couple de renards blancs fantomatiques qui se mit à jouer entre eux.

Dans un bosquet, une esparienne se mit à chanter, au royaume de Kralon.

Oui, c'était à craindre. Monsieur se montrait méfiant à cette mise en garde. POurtant tou ce qu'elle avait dis elle le pensait, elle voulait les protéger, les Espariens et les Kraliens, et ça même si les sentiments des gents allaient contre elle. Pour elle, il y avait beaucoup de chose qui devaient changer, beaucoip de chose qu'elle trouvait, ô combien stupide; à commencer par cette guerre sans fin. Pourtant elle devra bien un jour cesser, arreter de dévaster des paysages et des familles, arreter d'apauvrire encore deux contrés pourtant riches. Elle ne les resteront pas si elles continuent. Mais elle n'était venue pour ça, elle était venue pour des condoléance, et un avertissemment.
Elle regarda le roi se lever, lui tourner le dos. C'était désagréable comme impression. Mais elle avait finit par s'y habituer. Beaucoup de gents lui faisait cela. Maintenant elle le vivait avec une grande indifférence.

-Ils n'ont de noms, ils sont..morts. Nos armes ne font rien contre eux. Nous avons essayé pourtant, je puis vous en assurer. PLus ils y à de morts plus ils sont forts. Ce sont des...morts-vivants.

A dire ainsi cella semblait saugrenue, sans sens. MAis tout en Kamira,de son regard à se tanue, en passant par sa voix, montrait la sincérité et la franchise de la chose. Elle disait vrai. Elle n'avait pas à rire sur se genre de chose. Ca ne lui apportait rien, strictement rien.

-Insinéré tous vos cadavres, ne laissa pas de trace si ce n'est cendre. J'ai vue des morts, de mes homme, se relever, se relever pour s'attaquer à leur frêres, leurs cousins, leurs pères, leurs fils. Ils ne font plus de différence et n'obéisse plus à leur tête mais à celui qui les commandes. Je ne rie pas avec cette chose, je suis très sérieuse. Nous avons beau être armée de manière à nous fair la guerre des siècle durant, il s'agit là d'un tout autre défit, bien plus grand.

Elle se tut, il fallait laissait le temp au roi de réfléchire et de lui répondre. Elle llui donnait se temp. Elle resta debout, à le regarder d'un regard sérieux, toujours serein, toujours bienveillant.

Invité

Feers fit un petit geste de tête d’étonnement et se tourna vers Kamira. Elle lui demanda de brûler tout les corps alors qu’ils étaient en guerre entre eux. Des morts il y en avait tout les jours à n’importe quel âge, soit de la vieillesse, de la maladie, de la guerre, d’un accident et encore tant d’autre qui cause la mort. Il se tourna complètement vers Kamira et la regarda droit dans les yeux :

- Savez-vous ce que vous me demander là ? Croyait vous que nous avons les moyens de faire cela ? Si l’armée tout ceux qui meurent rejoignent l’armée des morts, ne pensez vous pas qu’ils nous auront déjà envahit ?

Il se retourna vers sa fenêtre en admirant le paysage reflétant la paix et la tranquillité qui n’était qu’illusion en ces temps troublé et il continua à parler :

-Certes je comprends votre inquiétude. Mais si la menace était si imminente, pourquoi les dieux n’ont-ils rien dit ? Ce monde est en constant guerre… .

Il tourna sa tête vers elle et l’interrogea :

-Le monde n’appartient-il pas déjà à l’humain ?

Il fallait avouer que l’humain avait déjà posé ses marques sur tous les continents et parmi toutes les autres espèces, l’humain était le plus nombreux. Feers et comme tout les Kraliens, pensèrent à la domination de l’humain sur ce monde.

Kamira lacha un soupire de totale déconcertement. Cet homme était affreusement septique, voir prétentieux. Il ne voyait pas la vérité en face, s'en était execrable. Elle décida de s'exprimer calmement, sereinement et avec une douce diplomatie d'une voix sucré.

Pourquoi vous ne voulez pas. En quoi cela vous dérangerait-il de bruler des morts pour le bien de votre nation. Peut-être préférez vous voir votre peuple mourire sous d'autre épées que des espariennes.

Elle se tut. Elle savait êrtinement que ses parole, cachées sous une voix douce et mélodieuse, étaient sévère, mais c'était la vérité.

-Permettez moi de douter de l'amour que vous portez à vore patrie. Mais attendez vous vraiment un signe des dieux ou plutôt préférez vous vous terrer dans votre chateau à pleurer vos parents alors qu'ils vous ont laisser, en mouerrant, un héritage grandiose. Par Amana Kraul et Kotry! Ciel c'est Kralon que vous dirigeez! Vous n'avez aucun droit à douter de potentielnon, elle se reprit, d'ennemis certain et dangeureux qui plus est!

Elle se mit devant lui, plus petit certe, mais avec un regard doré animait d'un feu fougueux et passionel. Elle aimait Esparow et admirait Kralon depuis plus petite. Elle avait à jamais refusé la guerre entre leur nation et maintenant qu'elle pouvait aider Kralon elle le fairait. Elle toucha doucement les mains de l'homme, hésitant à les prendre mais se retira, se ressasissant. Ses yeux étaient toujours animaient de se feu lorsqu'elle se radressa à lui. Doucement sa voix reprit, comme celle d'une amie.

-S'il vous plait. Kraul appartient peut être aux hommes, mais seulement en Esparow et Kralon. Mais Kraul doit rester un endroit de paix et nous devons nous appuyer l'un sur l'autre pour venir à bout de cette menace. Je sais que je suis jeune, que je fais souvent le mur et qu'on me voit très mal diriger un jour Esparow droitement mais voila, je suis la future reine d'Esparow et j'agit en tant que tel. Si je ouis aussi aider votre royaume je le fait, comme je le fait à cette instant. Etre désobeissante n'explut pas le fait d'être dévoué à son monde, corp et âme. Et je suis sûre que vous l'êtes tout auttant que moi.

Elle ne le quitta pas des yeux, le regardant avec un profond calme, une serreinité hors d'atteinte et un regarde doux.

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