Tour Ouest du chateau - Discussion (PV Kamira)

Kamira et moi étions au sommet de la tour Ouest du chateau, profitant du soleil qui se couchait à l'horyzon.

Comme on herchait un endroit pour e^tre tranquille, on était venu ici et j'avais du recourir à plusieurs tours de mon cru pour former une barrière autour de nous, pour pas se les geler car la température commençait à baisser, et aussi pour qu'on soit tous les deux invisibles, et masquer nos énergies.
Des trucs simples que je pouvais maintenir assez longtemps vu la puissance que j'avais accumulé avec le temps.

Depuis, mon regard n'arrivait pas à se décrocher de Kamira, elle faisait la moitié de mon age réel et elle était belle comme un coeur, ce qui ne me laissait pas indifférent. En me^me temps, il y avait comme une innocence en elle, chose rare actuelle chez les gens, ce qui me charmait aussi.

- Sinon, Princesse... vous préferez qu'on se vouvoit encore, ou qu'on se tutoie ? demandais-je en lui souriant...

Kamira ne se sentait pas trop à l'aise,sur l'instant, aus réjouissances qui lui étaent faites. Le fait que plus tard dans la soirée elle devait anoblir, et dire son choix sur son futur mari la refroidissait. Et voila que lui apparaissait Hatsu Hakyu, Compte d'Entraw sud, visiblement inniteréssé par le trône, qui la regardait de ce regard qu'elle avait vu des gents enlacé échanger.
Elle se souvint de leur première rencontre, d'un moument d'égarement qu'elle eût. Elle c'était sentit perdue alors qu'il s'approchait d'elle, son regard c'était perdue sur ses lêvres et elle avait songé, qu'on ne l'avais jamais véritablement aimer, si ce n'est son père. Mais l'amour, le véritable, elle ne le connaissait pas. Peut être n'était elle pas destiné à aimer, ou être aimer.

Elle marcahit de ses pas léger qu'on lui connaissait, une pointe de rêve dans les yeux alors que leur pas raisonnait dans le couloir dallé menant à un petit jardin, opposé à celui où se trouvait la rose de glace. Un banc se trouvait au fond, à deux ou trois mêtre deux, devant un mur de feuille verte et de fleurs blanches. juste devant il y avait un petit bassin d'eau au dessus duquel des lucioles voletaient et où la journée des rosignol se baignaient et chantaient. Kamira s'asseya sur la banc, droite, oubliant la présence du compte. Si ce n'est Tuhen, elle n'était pas habituer à la présence des hommes en privé. Alors avec se regard réveur elle oublia le Compte, oublia de lui répondre.

La princesse semblait ne pas avoir entendu ma question et en regardant mieux, j'avais l'impression qu'elle était dans les nuages.
Ah... une femme encore innocente... vu tout ce que j'avais vécu jusqu'à présent, j'en ai rarement rencontré. En la regardant, elle me rappelait Kyasuri, la princesse sirène avec qui j'avais eu une relation il y a 260 ans. QUand je repensais à cela, je sentis une vague de tristesse vu certains souvenirs. Je repris mon air calme pour qu'elle ne remarque rien et je passais ma main devant ses yeux.

- Allo ? Y-a-t'il une princesse ici ? demandais-je en lui en arborant un sourire amusé.

Sinon Princesse, vous préférez qu'on se vouvoie ou qu'on se tutoie ? demandais-je une nouvelle fois en espérant qu'elle l'entende cette fois...

KAmira fut brusquement sortit de sa réverie, lorsqu'une main passa devant ses yeux. Le fait que quelque chose trrouble sa vue, fut comme un choc et, bien qu'elf ut droite, elle se redressa brusquement, manquant de tomber du banc. Fort heureusement elle se ratrappa et n'eut de mal. Elle cligna des yeux, le temp pour elle de reposer les pieds sur la réalité, puis dit, d'un ton las.

-Oui oui je suis là. Excusez se moment d'égarment. Et pour répondre à votre question, je vous demanderai de bien vouloir me vouvoyer, si cela ne vous gène en rien.

Elle posa ses yeux sur lui. Elle était droite, assise, les main sagement posées au creux de sa robe,sur ses genoux. Un air impassible survolait son visage, doublé de curiosité.
Elle se demander comment un homme aussi... peu commun pouvait exister. A moin qu'il ne soit pas le seul, et que les gents au dehors se conduirait de manière différente si elle n'était pas elle.

Elle le regardait, sans détourner du regard, avec ses yeux au reflet d'or, s'intillant à la lumère de la nuit étoilé, le bourdonnement de la fête arriva,t faiblement à leurs oreilles.

Celle-ci préférait qu'on se vouvoit encore et je fis un signe de la tête pour dire que j'avais bien enregistré.
Mais je remarquais son regard et la lueur de curiosité qui l'emplissait.

- Qu'est-ce qui ne va pas, princesse ? J'ai l'impression que vous vous posez beaucoup de question sur moi ?
En me^me temps, je vous comprendrais. Un jeune homme qui débarque dans votre chateau, qui défonce la moitié de votre garde et qui vous propose ses services, ça a de quoi intrigué.
Mais en plus, il n'y au aucune infos sur lui et quelques semaines plus tard, il apparait à votre anniversaire et vous apprenez qu'il est le nouveau régent d'une zone neutre.
En effet, cela peut e^tre très étrange. Surtout que je ne suis pas comme tous vos soupirants, qui s'intéressent à vous juste pour pouvoir accéder au pouvoir dans le royaume d'Esparow, voire meêm vous engrosser pour assurer leur descendance. C'est presque similaire à des loups qui se battent pour être le chef de la meute et avoir ainsi tous les droits; déclarais-je en lui souriant.

Kamira se risqua à plonger son regard dans le sien, mais elle se détourna bien vite de cette vue et dis, d'un ton dégager, pour lui répondre.

-A vrai dire, je me demander si... vous êtiez la seule personne impertinante sur Kraul. Non très franchement, je n'ai jamais vus personne parler comme vous. Par exemple.... franco ou d'autre mots de la sorte. Venez vous des fau-bourgs? Etes vous descendant de paysan?

Elle remarqua que sa curiosité frôlait la bétise et ses parole le vexant. Alors elle se retracta, se remit droite sur le banc, c'étant un peu penchée pour parler à Hatsu et soupira. Après quelques instant desilence elle dit.

-De quoi vouliez vous parler Sieur?

Lentement elle tourna vers lui ses yeux doré, et lui adressa un sourire. Elle avti l'air heureuse, moin réveuse...toute aussi enfant néanmoins, mais pourtant femme. Elle oublia pour la première fois de la soiré le choix et geste qu'elle devrait fair, oublier se qu'elle devrait apprendre en se levant l lendemain. Elle se concentra juste sur la conversaion qu'elle devait avoir, qui pouvait lui être divertissant.

- Voilà donc ce qui vous intriguait le plus... je comprend maintenant. En même temps, vous ne savez pas grand choses sur moi; déclarais-je en allant me poser à côtés d'elle.

- Bon, pour commencer, je ne suis pas né à Kraul. Je viens d'un autre contient, qui se trouve à 6 voire 7 mois de naviguation, Celtania.
Sinon, je peux vous dire que je tiens mon vocabulaire et mon comportement de toutes les expériences que j'aie eu en ... si je ne me trompe pas... 283 ans; répondis-je en lui souriant.

- A la base, je suis le fils ainé d'un puissant mage, Baech Blackwing, de Celtania qui voulait que je prenne sa place au "Conseil des magisters"
Ma famille était présente dans le conseil depuis maintenant 10 générations, ce qui expliquait sa puissance.
Un mariage était même arrangé avec une autre famille de mage, présente dans le même conseil.
Mais c'est pas la vie que je souhaitais, j'ai tout fait pour mener ma vie et finalement, mon vieux m'a déshérité.
Depuis, j'ai vécu comme un mercenaire, mais je ne faisais que des jobs dont le but jouait en faveur du bien.
Franco, je ne regrette pas du tout mon choix, me^me si j'ai risqué ma vie un nombre incalculable de fois, j'ai rencontré des personnes incroyables, j'ai vécu des aventures et des batailles tel qu'on peut lire dans certains livres et j'ai vu des choses inimaginables, comme le dragon arc-en-ciel.

Si j'avais suivi les projets de mon père, j'aurais surement eu des regrets et je serais comme la bande de zigotos qui vous tournent autour comme une bande de loups; ajoutais-je en lui souriant.

Attentive, sans détourner le regard, Kamira écouta le Compte. Une vie palpitante avait précédé ça venue, une vie dénuée de toutes obligations. Une vie de 283 ans. Elle équarquilla les yeux et recula brusquement, comprenant qu'elle parlait à un double centenaire, presque triple, et qu'il avait l'apparence d'un homme qui éffleurait la vingtaine. Cela la déstabilisait un peu, et elle du s'y reprendre à deux fois avant de reprendre le court de ses pensées. Finalement, la voix quelque peu cassée et tremblante certe, elle daigna parler.

-Comment pouvez vous être si...vieux?

Effectivement, c'était presque inconcevable pour elle. La personne là plus vielle qu'elle est connue avait 87 ans et était morte il y avait 2années. Autant qu'elle se souvienne, à sa mort la personne n'avait pas l'air très jeune, plutôt frippé et pleine de ride. Alors comment le compte pouvait être si vieu et si jeune en même temp?

Je ne fus pas surpris de la voir surpris quand j'évoquais mon age et cela me fit un peu rire.

- Excusez moi... vais vous donner mon secret pour rester jeune après 283 ans... une alimentation saine, du sport, du repos... et du sang de dragon à boire une fois par semaine !!!

Quand je vis l'expression dégouté et pas convaincu de Kamira, je pouffais de rire !!

- Excusez moi princesse, je rigolais et puis, votre expression était trop...
Bon, plus sérieusement, durant mes voyages, j'ai traversé une sorte de portail d'énergie qui m'a propulsé 250 ans dans le futur. Mon age réel est 33 ans, si on rajoute le voyage dans le temps, ça fait 283 ans que j'existe pour les autres.
Et pour mon apparence, on va dire que c'est un bonus que j'ai eu en acceptant un travail; répondis-je plus sérieusement et en lui souriant...

S'en était trop pour le jeune coeur de la princesse. Elle avait beau réver d'aventure, de participer à des guerres pour protéger sa patrie, Kamira trouvait que c'éait u peu trop. Un peu égoutée, elle se redressa, pourtant la main à sa bouche, alors que l'idée de boir du sang de dragon se formait dans sa tête. Elle dégloutit, réprimand fortement une envie de vomir. Son teint était devenue blême, et elle n'écoutait plus vraiment le Compte parler. Elle s'accouda au bassin puis se tourna vers lui.

Elle resta un moment à le regarder, le détaillant, les lêvres entrouvertres. Ses yeux se baladèrent sur le corp du compte avant de s'arreter sur ses lêvres, une deuxième fois depuis qu'elle le connaissait. Elles devaient être douces. Sans s'en rendre compte elle c'était rapproché de lui, agenouillée devant lui et avait posé sa main sur sa joue. Sans être douce, elle l'était. Elle glissa sa main sur son visage, lentelent, sans se rendre compte de saq proximité, ni de la personne qu'elle touchait. Puis ses doigts éffleurèrent les lêvres du Compte. Elle les glissa de long des lêvres de Hatsu. Qu'elles étaient douces et chaudes.

Elle continua a rêver, imaginant ses lêvres chaudes et douce sur les siennes. Elle c'était un peu appuyer, d'une main, sur la jambe droite de Hatsu. Sans quitter les lêvres du Compte de ses yeux, elle se retrouva face à lui, son visage si proche. MAis elle ne le remarqua que lorsqu'elle sentit le souffle de l'homme se perdre dans sa frange. Elle était déja si proche, son front était pratiquement posé sur celui du Compte et ses lèvre à queelques millimêtres. Elle écarquilla les yeux et recula, confuse, et vite. TRop vite. Si vite qu'elle eu un étourdissement et retomba, la tête sur les jambe du Compte, fermant les yeux pour atténuer les étoile qui tournaient devant ses yeux. Et une fois de plus elle oublia a quel pointe elle était proche.

Alors que son visage était enfoui sur les jambes de Hakyu, et qu'elle se remettait, son visage cahé par son voile de chevelure noire, elle hummait l'odeur de l'homme, sans se relever, oubliant l'inconvenance du geste.

Zut ! A dire que je m'étais décidé à bouger mes fesses pour l'embrasser et elle avait reculer finalement !
Mais, je fus un peu surpris par l'endroit où sa tête attérrit !!??

- Euh.. Prin... Kamira... tu devrais pas avoir ta te^te là ; déclarais-je gêné tandis que je l'aidais à se redresser.

Soudain, quand je revis son visage, j'eus de nouveau comme un choc , surtout que nos visages étaient assez proche.
Je ne compris pas pourquoi, mais mon visage approcha doucement du sien et mes lèvres se posèrent doucement sur les siennes.

Soudain, j'eus un coup de conscience et je reculais pour mettre fin à notre baiser !

- Désolé !! J'aurais pas du ! déclarais-je en m'éloignant d'elle ...

KAmira restait étourdit, la tête posé sur le bout des jambes du seigneur. Elle se sentit relevé, et avant qu'elle n'eu put comprendre, un contact chaud et doux s'imposa à ses lêvres. Elle comprit immédiatement ce dont il s'agissait, voyant le Compte penché sur elle. Elle leva un main, doucement et il se retira. A peine eut-il prononcer des excuse, la main de la jeune fille fusa et attérie dans un "clap" sonnore sur sa joue. Elle se releva immédiatement, débarrassé de son étourdissement précédent. Son visage d'habitude calme et serrein était secoué d'une expression de total incompréhension et de colère. Elle se mit alors à déballer à toute vitesse un jargon de mots étrange qui n'était que de l'Esparien ancien, une langue oubliée de tous et seulement enseigné au personne de sang royal. Vraisemblablement c'est à Bruce Blackwind que toute ses paroles s'adressait. Effectivement sa majesté était tournée vers lui, les fusillait du regard et semblait lui parler. Néanmois elle s'arreta puis reprit de manière à se qu'il comprenne, avec tout autant de rage et de fougue dans la vois alors que sa chevelure noir était portait par un léger vent.

-Comment avez vous osez m'embrasser!? Vous..vous m'avez volez mon premier baiser!? Espèce de...de...de profiteur!!

Elle sembla hésiter sur les derniers mots. Puis elle se retourna et commença à fair les cent pas, prise d'une soudaine agitation. Elle n'osait pas toucher ses lêvres, pourtant elles brulaient affreusement, mais pas désagréablement. Plsieur fois elle agita la tête comme pour chasser une idée. Elle réprimait des impulsion violentes, comme une seconde gifle...ou un coup de poing.

Je ne fus pas surpris par la giffle et les insultes que j'eus droit après le baiser que je lui avais donné. Vu son statut et la manière de penser de la noblesse, c'était à prévoir.

Soudain, je me pouffais de rire et j'éclatais de rire, ce qui semblait surprendre la princesse.
Quand je repris mon calme, je me tournais vers elle et j'avançais vers celle-ci.

- Me faites pas rire, princesse. De deux choses : primo, je ne suis pas comme les coincés qui vous tournent autour... Quand je veux une chose, je la prend sans tourner autour du pot !
Et deuxio: ne faites pas l'innocente... vous croyez que je l'ai pas remarqué il y a deux minutes... ou le jour où vous m'aviez engagé et que je m'étais approché de vous. J'ai senti le désir que vous ressentez à chaque fois ! Vous avez eu envie de m'embrasser à chaque fois... alors ne faites pas la "Sainte ni touche" ou la vierge effarouché car j'ai juste pris les devants, alors qu vous n'e^tes pas fichu de prendre sur vous ! déclarais-je tandis que je continuais à avancer vers elle et mon visage était à à peine 15 cm du sien quand je m'étais arre^tais.

Franco princesse, je vous aime... et je suis intéressé que par la femme. La couronne d'Esparow, c'est carrément en dernier plan et c'est limite si ça m'intéresse pas; ajoutais-je en lui souriant...

OH s'en était vraiment trop. c'était la goutte d'eau de trop. Comment osait-il prétendre qu'elle le désirait!? Il n'ait aucunement le droit de dire ça. En plus il avait faux. Dans le regard de la jeune fille c'était comme si un feu ardent c'était allumé, colérique et sévère. Elle frappa du pied, ne manquant pas de piler celui de Hatsu. Apres quoi elle recommença son jargon de mot puis alla s'assoir sur le banc, tremblant de colère.

Et même assise elle se mit à pester.

-Comment osez vous prétendre se que vous prétendez! C'est ignoble et je ne vous aime pas! Ces moment d'évasion je ne vus désirez pas non plus! Vous ne savez pas à quoi je pensais!

Elle se tut et se détourna de lui, se tournant vers les fleurs qu'elle carressa du bout des doigts, sans daigner adresser un seule regard à HAtsu. Il l'avait véxé.

Quand je vis sa réaction sur le coup, je sentais que j'avais gaffé sur le coup.
Mais j'avais un doute sur ce qu'elle prétendait car j'avais senti son énergie qui différait lors de ces moments.

- En même temps, les nobles ont toujours l'habitude de cacher ce qu'ils ressentent et des fois, ils expriment que dalle. C'est malsain à la longue, certains ont même débloqué à cause de cela.
Enfin, je vous prie de m'excuser princesse; déclarais-je tandis que j'approchais d'elle.

Je fis un bond puis je m'asseyais en tailleurs sur le bord du muret de la tour.

- Sinon, je vous ai vu tout à l'heure avec votre père. J'ai l'impression qu'il vous aime beaucoup et qu'il vous comprend beaucoup. Franco, je vous envie un peu; dis-je sur un ton nostalgique.

En me^me temps, quand je compare mon vieux avec le sien, j'ai l'impression que le sien était plus compréhensif et sympa que le mien.

-Oui il m'aime, je l'aime aussi. Il n'a que moi et je n'ai que lui.

- Je n'ai rien à devoir à mon père. Si j'avais suivi la voie qu'il m'avait tracé, j'aurais eu une vie monotone comme lui il a eu. Et puis, la seule chose qui m'a fait plaisir, c'est ma mère qui savait à quoi j'aspirais et qui m'avait dit quoiqu'il arrive et quelque soit mes choix, elle sera toujours fier de moi; répondis-je calmement, tandis que je me mis debout sur le muret.

- Bonne fin de soirée, princesse. Mais entre nous, je pense que vous arrivez à un meilleur résultat si vous suivez votre instinct à la place de ce que vous dicte les autres et le système. Et puis, un système, ça peut se faire déglinguer aussi facilement qu'une personne. Sur ce, bye !

Avant qu'elle puisse répondre, je fis un pas en avant et je tombais dans le vide.
J'atterris violement les deux pieds sur le sol, m'évitant la casse car j'avais renforcé mon corps avec mon énergie durant la chute.
Je recourais à mon cristal de communication pour contacter mes gardes et les prévenir qu'on partait.

Je jetais un regard là où se trouvait la princesse, puis je partis...