Description des appartemens de la princesses

[i]Sur la façade du château qui donnait sur les immenses jardins royaux où chaque matin le soleil se levait, se trouvait un balcon de pierres grises. Cette proéminente appartenait aux appartements de l’héritière du trône qui n’ont étaient séparés que par une porte vitrée à l’encadrement en bois blanc ocre.
Derrière se dressait une pièce circulaire, aux murs d’un rouge pâle et au sol dallé de marbre blanc, où se trouvait des fauteuils de velours rouges bordeaux. Ces fauteuils et canapés formaient un carré où se propageait la chaleur d’un feu toujours alimentait dans une cheminée vaste au bordure d’un marbre ai to rougit. Le reste de la pièce était emménagé de bibliothèque, d’une harpe et d’un piano, ainsi que d’un chevalet à coté duquel se trouvait une petite table destinée à poser la peinture, les accessoires de peinture et l’eau. Juste devant le chevalet se trouvait un petit bac blanc attendant que l’on v’installe sur lui.
Deux portes, massives, grandes et en bois noir vernis interrompaient les murs l’une à quelque mètre après la cheminée et l’autre, face à la précédente, à quelques mètre du balcon. Cette dernière donnait sur le couloir quand à la seconde elle donnait sur un petit couloir e pierres noires, au plafond voûté. Se couloir se finissait par un fin rideau opaque violet.
Se voile cachait une chambre aux murs violets et au sol couvert d’une fourrure blanche. Sur le mur droit se dressait un lit en baldaquin circulaire en bois noirs. Les couvertures étaient violettes et brodé de fils blancs. Sur le fond du lit, quatre énormes coussins blancs étaient posés, trois petits oreillers rond et violets entre chacun d’eux. Face lit se trouvait une coiffeuse en marbre blanc au ton violacé. Un miroir ovale aux bordures semblable à des rayons de soleil, délaissée, arrondis et volontairement négligés.
Juste sur la droite de la coiffeuse se trouvait une ouverture dans le mur, une arche de marbre blanc une pièce carré en pierre, murée de miroir d’étagères et de placard sculptés à même la pierre, où reposaient des robe et des bijoux ou tous autre parures qui habillaient la princesse.
De l’autre coté, sur la gauche, de la coiffeuse se, dont l’entré était comme la précédente. Cette pièce était d’à peu prêt 10m², murée de pierres blanches et dallée de pierres grisâtres. Vers le centre, avec des ords en pierre sur lesquels étaient posées des serviettes chaude , se trouvai un bassin d’eau chaudes d’où s’échappaient des vapeur d’eau opaque cachant l’onde transparente qui se trouvait dans le bassin.
Et juste face au couloirs, caché par deux rideau d’un coton doux et légèrement transparent, violets, que fenêtre ronde au dessus duquel se trouvait un œil de bœuf en mosaïque violette, rouge et blanche, dessinant des signe quelconque sans véritable signification.

» Les phalanges du Seigneur, un poing serré toujours prêt à frapper [Description]